vendredi 25 juillet 2014

[ˈkat.ʦɔ]

  • cazzo : n.m. italien. Origine étymologique floue, vient peut-être de "ca(pe)zzo", du latin "capitium", qui veut dire petite tête. Mot vulgaire désignant le sexe masculin. Est aussi utilisé comme interjection, comparable à "putain" ou "fuck" en anglais
  • katso : impératif deuxième personne du singulier du verbe finnois katsoa, qui signifie "regarder".
Beaucoup d'italiens connaissent la phrase "katso merta!" en finnois (qui signifie "regarde la mer !") car sa prononciation est similaire à l'exclamation "cazzo! merda!" ("putain ! merde !")
  • catso : n. anglais désignant une personne malhonnête, un malotru.


mercredi 23 juillet 2014

Rules of Civility


Livre découvert au hassard, offert par une amie américaine, le livre lui avait été recommandé par sa maman.

"Lors de la dernière nuit de 1937, Katey Kontent, 25 ans, est dans un bar à jazz de seconde classe dans Greenwich Village lorsque Tinker Grey, un beau banquier, s'assoit à la table d'à côté. Cette rencontre due au hasard et ses conséquences la propulsent dans un voyage vers les échelons de la société new-yorkaise, où elle ne pourra compter que sur son intelligence et son sang-froid."

J'ai donc voyagé dans le New-York des années 30 au fil de ces 415 pages, je me suis laissée captiver par cette ambiance black-and-white. 
Je vous le conseille si vous aimez le vieux New-York, Gatsby le Magnifique et les femmes indépendentes qui profitent de la vie.

Petit bonus : 
À la fin du livre, on trouve les 110 "Rules of Civility and Decent Behaviour in Company and Conversation" (règles de civilité et de bon comportement en compagnie et lors de conversations), écrites par Georges Washington, aka un des pères fondateurs des Etats-Unis, alors âgé de 15 ans.

Acheté dans une bouquinerie du centre de Rennes, édition Penguin, 4€








dimanche 20 juillet 2014

Homographe

Du préfixe grec homo- "même, pareil" et du suffixe -graphe "l'écriture".
N.m. (Mot) dont la graphie est identique à celle d'un autre mot.
ex : Les poules du couvent couvent

Les homographes et les homophones sont deux types d'homonymes,
N.m. (Mot, signifiant) qui a une prononciation et/ou une graphie identique à celle d'un autre mais un signifié différent.

samedi 19 juillet 2014

Homophone

Du préfixe grec homo- "même, pareil" et du suffixe -phone "voix", "son".
N.m. En parlant d'unités ou de groupements graphiques (signe, syllabe, mot, phrase) : 
de prononciation identique.
Ex : vos et veaux sont des homophones

mercredi 16 juillet 2014

Dans mon sac : stage


Durant ce stage, dans mon sac, j'avais toujours :
  • les consignes de rédaction du rapport de stage
  • des Post-it index
  • une clé USB
  • un carnet rouge Clairefontaine
  • mon thermos Bodum (que ferais-je sans toi !)
  • un livre (en ce moment, Rules of Civility d'Amor Towles)
  • le Guide des métiers de la traduction-localisation et de la communication multilingue et multimédia, Daniel Gouadec (je suis extrêmement sérieuse quant à la documentation et la recherche d'opportunités dans mes futurs secteurs d'emploi).

lundi 14 juillet 2014

Festival Photo à la Gacilly

Hier, je suis allée à la Gacilly (ville d'Yves Rocher), dans le Morbihan, pour aller voir le Festival Photo la Gacilly.
Depuis maintenant 10 ans, la commune accueille chaque année une exposition de photographies, amateurs et professionnels, le Festival Photo Peuples et Nature.
Cette année, l'édition est consacrée aux Etats-Unis et vous pouvez venir admirer les photos du 31 mai au 30 septembre. Elles sont surtout concentrées autour du port de la ville, mais aussi dans les petites ruelles de la ville.
C'est une façon charmante de découvrir la ville et les nombreuses boutiques artisanales du coin.

Le chemin du bonheur

Un korrigan en pleine lecture

La passe à poissons

Festival photo des collégiens du Morbihan, l'arbre et la forêt

L'arbre et la forêt

Monolith, Patrick Tourneboeuf

Robert Capa

Colors, Steve McCurry

Colors, Steve McCurry

Sisu

Nom finnois.
On a pour racine sis-, qui donne notamment sisä- "intérieur", sisus "entrailles". Sisu, c'est la force qui nous vient de l'intérieur, de nos entrailles.
C'est un mot inhérent à la culture finlandaise et son concept est très difficile à traduire.
C'est à la fois la persévérance, la force de volonté, le courage, la ténacité.
Il est décrit comme l'acharnement et la patience que démontrent les Finlandais pour affronter des situations difficiles et réussir leurs objectifs. Ce terme est lié à Talvisota, la guerre d'Hiver (30 novembre 1939 - 13 mars 1940).

En ce jour de fête nationale, je voulais mettre à l'honneur une autre culture et une des ses forces.

samedi 12 juillet 2014

Les langues étrangères

Connaître une (voire deux) langue(s) étrangère(s) est devenu un atout important, voir obligatoire, dans notre société.
Pour voyager, pour lire, regarder des films, partager, découvrir, s'ouvrir des portes, avoir plus d'opportunités d'emploi, etc.
On ne peut plus passer à côté de l'anglais, le chinois, l'arabe et l'espagnol sont désormais des choix stratégiques pour une deuxième langue.
Comment choisir une langue ?
Et qu'entend-on par "connaître une langue étrangère" ?

Choisir une langue ... Ou plutôt, choisir une deuxième langue.
L'anglais est devenu une condition sinéquanone pour l'obtention d'un diplôme - brevet, bac, licence, etc. On l'utilise partout, tout le temps et son apprentissage ainsi que les supports d'apprentissage sont multiples et accessibles à tous. Parler anglais, avec un accent français malheureusement, va de soi.
Bon.
Pour la deuxième langue, le choix se fait parfois par défaut, cet enseignement commence au niveau de la quatrième en France et certains collèges ne proposent pas un choix de langue étendu, mais tous proposent l'espagnol.
- Hola chica, hablas espanol? - oui, comme tout le monde, j'ai étudié l'espagnol.
Pourquoi ? C'est une langue dominante en Amérique centrale et en Amérique du Sud, deuxième langue officielle des Etats-Unis, dans certains états la population hispanophone est plus importante que la population anglophone.

Et connaître une langue étrangère ...
Pour parler une langue, il faut en connaître le vocabulaire, les règles de grammaire et la prononciation. Certains se contentent de cela et tout va bien.
Cependant est-ce vraiment suffisant ? Dans les études, les cours de langue comprennent quelques thèmes portant quelques habitudes de vie et traditions clés du pays, ainsi que quelques évènements historiques. Car connaître une langue, c'est aussi comprendre sa culture et son histoire.


Personnellement, je choisis une langue par affection. Parce que le pays et sa culture m'attire, parce que je la trouve belle. Parce qu'elle fait partie de mon histoire personnelle et des rencontres durant ma vie.
Bien sûr, si un employeur me dit que je dois apprendre une nouvelle langue étrangère, je le ferai.
Mais le fait de choisir une langue soi-même et que son apprentissage ne résulte pas d'un choix imposé, cela apporte toujours une motivation et un engagement supplémentaire.
Les langues de ma vie sont le français, l'anglais, le breton, l'italien, le finnois et le vietnamien.

Bien sûr, je ne les connais pas toutes (3 1/2 sur 5). Tout le vocabulaire, les règles de grammaire, etc.
Mais pour apprendre une langue, je découvre d'abord sa culture (culinaire, musicale, littéraire, tradition), son environnement, son histoire.
Je lis des journaux, des magazines, j'écoute des chansons, tout en cherchant les mots de vocabulaire inconnus et les règles grammaticales obscures. Je suis en faveur d'un apprentissage par une immersion dans la culture d'un pays.
Connaître une langue étrangère c'est aussi découvrir une vision du monde différente de celle conviée par notre langue maternelle. C'est porter un nouveau regard sur la vie, les relations, les émotions, les sensations.
Découvrir de nouveaux sons, de nouvelles saveurs, de nouvelles odeurs, de nouvelles idées ... l’apprentissage d'une langue étrangère est pour moi une expérience multi-sensorielle.
 

jeudi 10 juillet 2014

Aurélie Roche, responsable de traduction

Voici un article publié aujourd'hui sur ActuaLitté, un site Internet sur les univers du livre.

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Responsable des traductions : rigueur, souplesse et nerfs d'acier

« Il reste prestigieux pour un auteur étranger d'être traduit en français », Aurélie Roche, responsable des traductions chez Libella

Le jeudi 10 juillet 2014 à 08:30:55

Aurélie Roche, responsable des traductions chez Libella, est intervenue à l'Ecole de Traduction Littéraire du CNL pour présenter sa fonction. Ce travail de relais entre éditeur et assistant d'édition et d'interlocuteur privilégié avec le traducteur requiert une parfaite connaissance de toute la chaîne du livre, et beaucoup de tact.



 Aurélie Roche


« En matière de traduction, il est essentiel que l'éditeur et le traducteur s'entendent sur la musicalité et le rythme du texte. Par ailleurs, traduire coûte cher et est très encadré juridiquement », explique Aurélie Roche du groupe Libella où elle s'occupe de la quarantaine de traductions littéraires annuelles pour toutes les marques, dont Maren Sell, Phébus, Libretto ou encore Buchet Chastel. Un bon responsable des traductions se doit donc d'avoir l'oreille fine et les pieds sur terre. Il lui faut savoir écouter un texte et connaître parfaitement les contraintes tant économiques que juridiques liées à la traduction.

L'éditeur, seul propriétaire de la traduction

« Les agents jouent un rôle de plus en plus important. Ils peuvent parfois suggérer - voire imposer - des traducteurs. L'auteur lui-même réclame parfois un droit de regard sur la traduction », explique-t-elle à la quinzaine de jeunes traducteurs de l'ETL-CNL. Les auteurs étrangers sont d'autant plus vigilants qu'« être traduit en français reste prestigieux ». Pourtant, aucune clause n'oblige l'éditeur, seul propriétaire de la traduction, à la soumettre à l'auteur. « Nous le faisons par courtoisie, aussi parce que cela est un signe que nous sommes sûrs de sa qualité », indique Aurélie Roche, laquelle est souvent amenée à arbitrer entre les différentes parties. Les clauses de soumission de la traduction à l'auteur sont toutefois de plus en plus fréquentes. « Cela va devenir la norme », note-t-elle.

La ponctualité, première qualité du traducteur 

Une grande part de son travail est effectuée en amont, pour éviter les éventuels accrocs. Il s'agit de fixer les délais en fonction des deux grandes rentrées littéraires, en septembre et janvier. L'éditeur dispose de 18 à 24 mois après la signature du contrat avec l'auteur pour publier, temps de traduction inclus. Aussi, l'échéancier établi bien à l'avance ne peut souffrir aucun retard. « La ponctualité est la première qualité d'un traducteur », insiste-t-elle, car l'éditeur poursuit une logique stratégique et commerciale. Elle procède ensuite, avec le responsable juridique, à la mise en place du contrat, lequel stipule la date de remise, le calibrage et le montant des honoraires du traducteur : un tiers est versé à la signature du contrat, un autre tiers à la remise de la traduction et le solde à son acceptation, dans un délai de deux mois après la remise. Les tarifs sont ceux fixés par l'ATLF (environ 22 euros par feuillet), mais varient aussi en fonction de la notoriété du traducteur, de la rareté de la langue ou encore de la difficulté du texte.

Au-delà de ces questions contractuelles, le responsable des traductions vérifie la cohérence du texte original afin d'anticiper sur les problèmes que le traducteur pourrait rencontrer. « Assurez-vous que vous commencez votre traduction avec le texte définitif ! », avertit-elle, car certains livres sont vendus avant d'avoir été écrits et livrés à la traduction avant que l'auteur n'ait donné sa version définitive. « Après un achat sur synopsis, nous avons dû attendre cinq à six ans avant de recevoir le texte », témoigne-t-elle.

À la réception de la traduction, Aurélie Roche lit intégralement le texte et le révise mot à mot sur une trentaine de feuillets. Elle s'assure que le registre de langue est bien respecté, que des paragraphes n'ont pas été « oubliés », comme il arrive parfois, qu'il n'y a ni répétitions, ni glissements de sens, que la traduction n'est pas trop scolaire, que sont justes le rythme, la syntaxe, les temps (de son expérience, toujours problématiques en anglais). Puis, elle entame un dialogue avec le traducteur. À l'issue de cet échange, l'assistante d'édition prépare la copie qui part ensuite en fabrication, en composition, puis en correction. Un jeu est alors remis au traducteur qui peut encore intervenir à cette étape.

Des différends qui peuvent tourner au contentieux

« Nous avons dû refaire une traduction qui n'était pas assez proche du texte original, mais celui-ci était si plat, que le traducteur était pour ainsi dire obligé d'embellir », raconte-t-elle. L'exemple montre à quel point l'exercice est difficile et les jugements arbitraires ou soumis aux modes de l'époque. Dans un autre cas, un auteur indien avait exigé que l'ordre de ses nouvelles rassemblées dans un recueil soit respecté dans l'édition française. Un différend qui aurait pu tourner au contentieux juridique, mais faire preuve de souplesse dans les négociations permet d'éviter ce genre de désagrément. Par ailleurs, certains auteurs sont notoirement difficiles à satisfaire, ou d'une exigence légitime, selon les points de vue. Antonio Lobo Antunes aurait ainsi "eu la peau" de plusieurs traducteurs avant de s'accorder avec Dominique Nédellec. Aurélie Roche estime pour sa part que « l'auteur reste le créateur. Sa voix doit demeurer la plus importante».

« Si une traduction n'est pas bonne, l'éditeur a peu de recours et une traduction retravaillée ne sera jamais aussi bonne qu'une bonne traduction originale », assure-t-elle. La seule sanction sera de ne pas reprendre le fautif. Raison pour laquelle, le choix du traducteur fait l'objet d'une attention extrême. En anglais, ils sont pléthore, mais pour certaines langues rares -les langues nordiques ou même le turc- la demande est plus forte que l'offre. La notoriété du traducteur et le bouche à oreille sont décisifs, et l'annuaire de l'ATLF reste une référence. L'association recense 1 100 adhérents qui officient dans toutes les langues. Enfin, une autre des missions du responsable des traductions, et pas des moindres, est la gestion des dossiers de demande de subventions au CNL (retoqués si la traduction est trop loin du texte…) ou aux institutions européennes.

Les traducteurs remplissent de plus en plus un rôle d'éditing

« Je reçois 30 CV par semaine », reconnaît Aurélie Roche qui insiste sur le rôle de plus en plus important que les traducteurs sont amenés à jouer. « Les éditeurs sont bombardés et les traducteurs deviennent les premiers passeurs. D'une part, ils ont un œil sur les parutions à l'étranger et d'autre part, ils sont en mesure d'évaluer l'intérêt d'un texte pour un lecteur francophone ». Mais ce travail d'apporteur de projet constitue une lourde charge de travail, non rémunérée. Pour proposer un texte, il faut traduire un ou deux chapitres, rédiger un résumé, mettre en avant les arguments commerciaux (commémoration, prix littéraires), enquêter sur les traductions déjà en cours auprès des éditeurs, etc.  Ce préalable laborieux reste pourtant « la meilleure façon de se faire connaître ». Il est aussi parfois source d'amertume, quand certains éditeurs indélicats confient au final la traduction à quelqu'un d'autre…

Statut, formation et conditions de travail des traducteurs devraient pourtant intéresser tous les amateurs de textes venus d'ailleurs, car, comme le rappelle Aurélie Roche « tout un pan de la littérature classique étrangère, tombée dans le domaine public, reste inconnu en France. Enfin, les traductions sont -et c'est une chance !- à dépoussiérer régulièrement ». Plutôt qu'un travail de Sisyphe, une réjouissante fontaine de Jouvence.

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La semaine du Red Ball Project

La semaine du Red Ball Project s'est achevée hier.
Beaucoup de personnes se sont amusées à suivre ses péripéties dans la ville. Vous pouvez aller sur le site de l'artiste pour voir plus de photos des installations au cour de cette semaine.
Voici donc un petit récapitulatif de la semaine avec mes photos - vous pouvez voir les deux premiers jours sur cet article.
La Red Ball sera à Galway en Irlande du 17 au 23 juillet pour le Galway International Arts Festival.

Place de la République, le 5 juillet
Les Portes Mordelaises, le 6 juillet
Station de métro Charles de Gaulle, le 7 juillet
Immeuble Ouest-France, le 8 juillet
Ouest-France, le 8 juillet
Palais Saint-George, le 9 juillet
 

mercredi 9 juillet 2014

Love is like ...


"Love is like coming home after a long trip"
Piper Chapman.
Orange is the new black, saison 2, épisode 6 "You also have a pizza"


"L'amour, c'est comme revenir chez soi après un long voyage"




lundi 7 juillet 2014

Mot du jour : Stage

Stage
N.m., vient du matin médiéval "stagium" qui veut dire "résidence, demeure" (stagium facere : habiter le lieu auquel est rattaché un bénéfice.
En 1783, c'est une « période transitoire de formation et de probation en vue de l'exercice d'une fonction » (Mercier, Tableau de Paris, t. 6, p. 3)
 En 1907, c'est un « emploi temporaire dans une entreprise, destiné à compléter un enseignement par une expérience pratique »
Aujourd'hui, le Larousse le définie comme :
  • Période d'études pratiques exigée des candidats à l'exercice de certaines professions libérales ou publiques.
  • Période pendant laquelle une personne exerce une activité temporaire dans une entreprise ou suit des cours en vue de sa formation.
En gros, c'est ça un stage.

Pour les entreprises, il s'agit de trouver le temps pour accueillir quelqu'un et assurer sa formation - les premiers jours du moins, trouver du travail à lui faire réaliser et aussi, dans certains cas, tout faire pour éviter de payer le stagiaire. Mais la loi est en train de changer.

Pour les étudiants dont le cursus comprend un stage obligatoire, c'est une véritable quête. Et ils ne demandent pas forcément le Graal, ils veulent juste un stage pour valider leur diplôme. Pas de capacité d'accueil, entreprises qui n'engagent des stagiaires que pour 2 mois moins un jour (Hahaha ! Pas de gratification pour toi !), entreprises qui ne répondent pas.
C'est une bataille contre d'autres étudiants, il faut être le premier à postuler pour avoir le plus de chances, le premier à contacter un tuteur potentiel avant qu'il n'accepte plus d'élèves, il faut trouver des entreprises mais ne pas en parler pour que les opportunistes ne vous doublent pas au tournant
- Non, j'ai pas cherché ... - Ah bah moi j'ai repéré l'entreprise Truc et la Machin. - et c'est l'opportuniste qui enverra le CV avant vous.
C'est aussi une course contre la montre entre les dates pour trouver le tuteur, les dates de rendu de la convention de stage, à combiner avec les dates d'examens, de dossiers à rendre, etc.
- Aaaaaah, la fin de l'année approche, je n'ai toujours pas trouvé de stage, je suis fichuuuuue ! [crise de larmes]. True story.

Enfin bon, le mien se termine YOUPI dans 4 semaines, en comptant celle-ci, et je brode pour justifier le choix de cette entreprise et la pertinence des missions que l'on m'a attribuées au sein de mon cursus.

Crédits image : Google Image

vendredi 4 juillet 2014

Red Ball Project

Le Red Ball Project est un projet artistique qui s'invite actuellement au sein du festival des Tombées de la Nuit à Rennes.
Il s'agit d'un projet artistique créé par l'artiste américain Kurt Perschke. Il se promène dans des villes dans le monde et y dépose sa balle rouge dans différents endroits. Il est déjà passé par Sydney, Taïpeï, Chicago, Abu Dhabi, etc. et il se trouve actuellement à Rennes du 3 au 9 juillet. Voici ce qu'il dit de son projet :

As RedBall travels around the world people approach me on the street with excited suggestions about where to put it in their city. In that moment the person is not a spectator but a participant in the act of imagination. I have witnessed it across continents, diverse age spans, cultures, and languages, always issuing an invitation. That invitation to engage, to collectively imagine, is the true essence of the RedBall Project. The larger arc of the project is how each city responds to that invitation and, over time, what the developing story reveals about our individual and cultural imagination. 

 "Tandis que la Balle Rouge voyage à travers le monde, les gens m'approchent dans le rue avec des suggestions, où je pourrais la mettre dans leur ville. À ce moment, la personne n'est pas seulement spectateur mais elle participe à l'acte d'imagination. J'ai remarqué cela dans différents continents, différentes tranches d'âge, différentes cultures et langues, cela finie toujours sur l'imagination. Cette invitation à s'engager et à imaginer de manière collective est la vraie essence du RedBall Project. La plus grande partie de ce projet est comment chaque ville répond à cette invitation et au fil du temps, ce que l'histoire révèle de notre imagination individuelle et culturelle."

Hier, elle était coincée entre les arches de l'Opéra (voir mon Instagram) et aujourd'hui elle se trouve rue des Dames.



Cette balle a pour moi un goût d'enfance, elle me rappelle les nez de clowns, les ballons sauteurs, les piscines à balles et les Babybels. Elle sautille à travers la ville et décide de se reposer dans un coin, puis elle saisit son élan et repart de plus belle. Elle s'amuse et découvre le monde tout en invitant les passants à se joindre à elle et à découvrir la ville, leur ville, d'une manière sautillante et colorée.

Présentation

Lucie est un prénom d'origine latine qui vient de « lux » et qui signifie « la lumière ». 
Lucie est la version féminine du prénom Luc. Ce prénom est réapparu à la fin du Moyen Âge dans la plupart des pays européens, en particulier en Grande-Bretagne (Lucy). Depuis, malgré quelques éclipses passagères, il est toujours fréquemment utilisé. Il fut particulièrement répandu en Italie et également dans les pays anglophones à la fin du XIXe siècle.
Sainte Lucie était une vierge chrétienne martyrisée à Syracuse, en Sicile, au début du IVe siècle. L'étymologie de son nom et la date de sa fête qui, avant la réforme du calendrier, en 1582, coïncidait avec le solstice d'hiver, en ont fait une sorte de sainte de la lumière. Sa fête donne lieu dans les pays nordiques - où l'hiver est si obscur et si long - à de nombreuses réjouissances.



Marble, n. anglais ayant deux significations en français:
  • marbre, n.m., du latin marmor : Calcaire (sous forme de calcite) compact, parsemé de fissures remplies de matières diversement colorées et dont certaines variétés sont très pures.
    Roche généralement calcaire, d'origines et de variétés diverses, pouvant prendre un beau poli et un aspect décoratif particulier.
  • bille, n.f., du francique bikkil « dé à jouer, boule de jeu » : Petite boule de pierre peinte ou de verre, servant aux jeux des enfants.